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 Une première étincelle.

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Valorius Ora

Valorius Ora


Messages : 6
Date d'inscription : 25/01/2014
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MessageSujet: Une première étincelle.   Une première étincelle. EmptyDim 26 Jan - 21:04

La nuit était tombé depuis déjà quelques heures.


Quelques jours plutôt, Valorius Ora ; celui que l’on appelait le Chevalier d’Or, à cause de son armure dorée, ou encore l’Égide d’Auga car il était réputé pour être dévoué corps et âme à son pays ; avait été convoqué par le conseil des stratèges de l’Ouest, ce dernier rassemblait les plus grands généraux du pays de l’Ouest lors d’importantes réunions. Valorius s’étonna d’apprendre que le conseil avait décidé de former un groupe d’élite qui agirai dans des missions souvent ardues et sans soutient ; Valorius allai être sous les ordres d’une dénommée Aessa Fielgard, peu de personnes connaissaient son passé mais certain disaient qu’elle possédait un sang « plus élevé » que les autres prolétaires du continent. Valorius allait également avoir deux autres compagnons : un tireur d’élite nommé Varen Axys et une soigneuse du nom de Carène Nal. Tous étaient originaires de l’Ouest, mais ils n’avaient pas étudiés au même endroit : Valorius Ora, qui est né sans père ni mère pour veiller sur lui, avait été recueilli et éduqué par un maître d’arme et forgeron d’une forteresse du pays de l’Ouest. Aessa avait été envoyée dès son plus jeune âge quelque part dans le pays du Sud, pour apprendre l’art de la stratégie et du commandement. Varen Axys suivit un chemin plus commun et rejoignit les rangs des étudiants du sang, il partit donc pour le Centre, mais il montra un certain talent pour la maîtrise des armes de jet et à feu. Et Carène Nal partit également au Sud pour suivre l’enseignement des plus prestigieux soigneurs.


C’est ainsi que fut composé le groupe spécial dont faisait partit Valorius. À peine les quatre compagnons firent connaissances, qu’on leurs assigna une mission « de haute importance ». Ce fut le Grand Stratège qui leur donna les ordres :

«- Nous avons entendu parler (En faisant référence aux espions d’Auga) d’un gros convoi de minerai provenant du Nord faire route vers le Sud. Permettez-moi de vous le rappeler : Nous avons quelques quiproquos avec l’Est et le Nord, malheureusement pour eux : rien ne peux passer légalement sur notre territoire, donc ils ont deux options : Utiliser des bateaux pour contourner le continent, mais cela est bien trop coûteux aux vues de la quantité de matériaux ; ou utiliser un convoi clandestin et traverser sans autorisation l’un des deux royaumes. Ils ont choisies l’option qui nous est le plus bénéfiques : la seconde. Je pense que vous commencez à comprendre votre première mission … Les minerais qu’ils transportent sont d’une importance capitale pour l’Ouest : Ils vont nous permettent d’améliorer nos bâtiments, renforcer nos lignes de transport, mais surtout … Consolider notre armée … Ce convoi passe sur nos terres ! Vous irez le prendre en embuscade et le ramener dans la forteresse la plus proche, là-bas votre mission sera terminée. Évitez de faire des survivants sauf si cela est nécessaire, l’attaque du convoi passera pour un simple raid de bandit. Maintenant : Sellez vos chevaux et partez immédiatement, nous vous fournirons les coordonnés ! »

De ce fait, le groupe d’Aessa partit vers le Sud-Est sans jamais s’arrêter plus de vingt minutes. Ils passèrent deux jours entier à chevaucher jusqu’à atteindre les coordonnées évaluées par les stratèges.
Valorius était partit seul sur un promontoire pour surveiller l’arrivée du convoi. Laissant ces compagnons se préparer à l’assaut une dizaines de mètres derrière lui. Ils portaient tous des tenues discrètes, mélangeants noir et marron. Valorius était le seul à porter une cape ample, en raison de son armure lourde.
Il était environs deux heures du matin lorsque le Chevalier d’Or aperçu un nuage de poussière au loin. Il se retourna et alerta les autres membres du groupe.

« -Cible à 800 mètres au Nord, ce ne sont pas des chariots … Non, c’est un train alchimique. » Il enleva son casque et pris des jumelles. « D’environs quatre wagons, nous allons donc devoir garder l’alchimiste. Nous allons devoir faire également attention à l'escorte : des cavaliers, en armure intermédiaire équipés de simples épées, et de pistolets. »

Aessa proposa alors une stratégie.

« -Valorius, tu iras sur le passage du convoi pour l'arrêter, Varen tu en profitera pour décocher des flèches sur les deux cavaliers, et avant que l’alchimiste réagisse, je le contraindrai à aller vers Fort Augure, si il se montre hostile ou tente quoique ce soit de suspect, je l’assomme ; si cela arrive tu viendras le soigner, Carène. Et faites attentions, il se cache peut-être d’autres hommes dans le train. »

Tous acquiescèrent, ils se mirent alors à dévaler la pente menant au chemin qu’empruntait le train. Ils prirent soin de se dissimuler dans des buissons le long du chemin.


Le train alchimique n’était qu’à une centaine de mètre lorsque Valorius se mit en travers de la route du convoi. Ce dernier lâcha un horrible crissement dû au freinage de l’engin. Lorsqu'il s’immobilisa, les deux cavaliers rattrapèrent la locomotive, et dégainèrent leurs épées, ils commencèrent alors à se diriger vers Valorius, qui n’avait encore fait aucun mouvement, c’est alors qu’il dégaina une immense lame ondulée, ce même geste dégagea la cape vers l’arrière, dévoilant l’armure doré et un second tissu aux couleurs d’Auga.
Le premier cavalier, voyant clairement qu’il n’allait pas pouvoir agir pacifiquement, chargea Valorius, mais une flèche fendit l’air pour se planter dans la tempe du Nordien, qui s’étala au sol, mort.
Le Chevalier d’Or fit un pas sur le côté et laissa passer le cheval apeuré.


Le second cavalier, surpris par l’action, dégaina son pistolet, mais Valorius avait déjà engagé une charge frontale. Quelques mètres avant d’atteindre le cheval, il balança son corps en arrière, freinant sa charge, mais il oscilla son immense lame en arrière et usa de l’élan pour faire tournoyer son épée ondulée vers le cavalier. Cette dernière se planta dans le corps, passant par le trapèze gauche pour descendre jusqu’au diaphragme.
La locomotive se mit alors à émettre un son grave. L’alchimiste redémarrait le convoi. Aessa bondit de son buisson et atteignit la porte droite de la locomotive, elle dégaina alors un pistolet à l’allure peu commode. L’alchimiste, pâle comme la neige, enleva progressivement ses main d’une orbe lumineuse, qui à mesure que ses mains s’éloignaient, perdait en luminosité.

« -Tu va nous conduire là où on le voudra. »

Il fit, hésitant, un signe d’approbation. Pendant ce temps, Valorius contournait le train, à la recherche d’un éventuel inconvénient. Varen et Carène sortirent de leur cache pour rejoindre Aessa. Lorsque des cris se firent entendre : À l’arrière du train, deux ingénieurs avaient pris par surprise Valorius. Équipés de marteaux, ils frappaient avec vigueur le soldat d’élite ouestien, ce dernier parait efficacement mais perdait en vivacité au fil des coups reçus. Il serra donc avec force le manche de son espadon, et donna un violent coup à ses deux adversaires.
Leur esquive lui permit de se remettre en position favorable. Il poussa alors son corps vers l’avant, le premier ingénieur fixa le casque doré, incrédule et choqué par la vivacité de son ennemi malgré la lourdeur de son armure.


Ce temps de latence lui coûta la lame de Valorius en plein ventre, ce dernier se mit dos à son second adversaire, il tira vers l’avant son espadon, ce qui déchira le corps du premier ingénieur, ensuite, il retourna le manche de sa lame et sans se retourner, enfonça le fer dans la cage thoracique du second ingénieur.
Ce dernier s’étala en essayant de donner un coup de masse, le Chevalier d’Or prit alors son bras avec fermeté, son adversaire lâcha son arme et regarda la visière avec ses yeux vaseux.

« -Pars dans la dignité. »

Après lui avoir dit ça, Valorius tira le bras de l’ingénieur vers lui, pour enfoncer plus profondément sa lame, ensuite, il posa son pied contre le ventre de son ennemie et le poussa violemment. Le cadavre d’étala au sol mollement.
Aessa et Carène arrivèrent lorsque tout était terminé, laissant Varen dans la locomotive tenir en joue l’alchimiste. A la vue du massacre, ils furent surpris. Aessa fut la première à s’exprimer :

« -Je comprend mieux pourquoi tu es sous mes ordre maintenant … » Ses yeux balayèrent une dernière fois la zone, puis elle commença à se retourner pour se rediriger vers la locomotive. « Vient, on ne doit pas rester là plus longtemps … Tu vas te reposer une fois qu’on aura redémarré l’engin. » Il acquiesça et ils embarquèrent.


Sous la pression du pistolet d’Aessa, l’alchimiste se montra très « amicale » et repris sa route, mais cette fois si, vers Fort Augure.
Le détournement avait fonctionné.


Dernière édition par Valorius Ora le Mer 29 Jan - 16:42, édité 1 fois
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Valorius Ora

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MessageSujet: Re: Une première étincelle.   Une première étincelle. EmptyMar 28 Jan - 20:38

https://www.youtube.com/watch?v=hqZS1jeFF08

Fort Augure, la forteresse la plus proche de la frontière séparant l’Ouest et le Sud. Elle se situait à mi-chemin entre l’emplacement du raid de l’équipe d’élite et de la capitale de l’Ouest : Auga ; Le voyage avait donc été moins long, de plus, le train allait plus vite que les chevaux de l’Ouest (Plus connus pour leur robustesse que leur vitesse). Valorius et ses compagnons arrivèrent à Fort Augure en un peu plus de vingt heures.


Le soleil brillait haut dans le ciel lorsque Valorius aperçu les hauts murs du fort. Sur chaque tour, de grands drapeaux de couleur sang marquées d’un demi-soleil dorée aux rayons pointant vers l’ouest, et à l’est, des représentations de vagues, pour rappeler la proximité de la mer. Plus le transporteur se rapprochait, plus il était facile de distinguer de grandes gueules de métal intimidantes, ces canons se mirent alors à pointer la locomotive.
Comme selon les directives, Aessa sortit son bras par l’une des vitres coulissantes du train et tira une fusée lumineuse de couleurs rouge. Un des gardes positionné sur les remparts répondit de la même façon. Les canons se réalignèrent correctement, pointant vers l’horizon.


Le château était entouré de profonde douve remplie d’un mélange douteux et peu attirant, sa couleur tournait entre le orange et le rouge, et une odeur intrigante s’en dégageait, cependant, elle n’était pas repoussante, mais le cerveau l’interprétait avec méfiance. A l’approche de l’escouade, un lourd pont en pierre coulissant s’affaissa pour laisser passer la précieuse cargaison.
Dans la cour intérieure ; grande comme la Place de l’Ouest, cette dernière se situait à Auga et mesurait pas loin de trois cent mètres de long et possédait une largeur équivalente ; Aessa et trois subalternes furent accueillis à bras ouvert par le commandent du fort. La capitaine s’avança, et ses trois coéquipiers se mirent en rang derrière elle –pendant ce temps-là, l’alchimiste fut extirpé de l’engin et emmené dans les tréfonds de Fort Augure, pour être interrogé avec délicatesse, tous les moyens étaient bons pour en apprendre plus sur ces voisins-. Tout en regardant le prisonnier partir pour son interrogatoire, le commandant commença à parler.

« -Nous sommes heureux de vous accueillir ! Les vents parlent vites en nos terres de l’ouest ! Voilà donc la fameuse escouade d’élite de l’Ouest dont tout le monde parle ! –Il regarda le train pour constater la cargaison de minerais divers, qui devait peser plus de cent tonnes- Et il s’avère que vous êtes réellement doué.

-Merci pour votre accueil, Je suis Aessa Fielgard, la capitaine de cette escouade. Et permettez-moi de vous présenter … -Elle fut coupé par le Commandant-

-Non laissez-moi deviner, il faut que je sache si ce que l’on dit sur vos hommes est vrai ! –Il regarda alors derrière Aessa et commença par Carène- Vous … Vous n’êtes pas faite pour les combats au corps à corps et ne semblée pas maîtriser les armes à feu avec une grande dextérité … Mais cette aura de bienveillance qui émane de votre corps … Je suppose que vous êtes Carène Nal, la soigneuse la plus reconnue de notre bonne patrie ! –Elle acquiesça, le commandant détourna alors le regard sur Varen- Et vous ! Cette carrure athlétique, vous avez un corps agile, vos mains sembles adroites et pleine de dextérité pour la maîtrise des armes à feu et de l’arc en particulier, si je me fie aux marques de vos … Vous êtes Varen Axys, le tireur de l’Ouest.

-C’est exact monsieur ! Vous êtes doué pour remarquer les détails.

-Ne me complimente pas ! Pour une fois que j’ai l’occasion de rencontrer le groupe d’élite qui donnera à l’Ouest toute la gloire qui lui est dû ! –Il passa au suivant : Valorius Ora, au premier coup d’œil, il n’était pas difficile de savoir qui il était, même malgré la cape qui recouvrait son corps massif- Valorius Ora … Ou celui que l’on nomme le Chevalier d’Or, ce que l’on raconte sur vous est vrai ? On dit que vous avez la force d’un régiment, que votre armure rayonne comme le soleil, que votre lame ondule comme les flots de la Mer Éternelle.

-Je suis bien trop humble pour me décrire comme un demi-dieu. Disons que je suis un fier défenseur de l’Ouest, mais il est vrais que mon armure est d’or –Il poussa sa cape sombre avec son bras gauche, et avec son bras droit il retira sa capuche, le Commandant scruta alors l’armure qui recouvrait Valorius de la tête aux pieds- et il est également vrai que mon épée ressemble aux vague de la Mer Éternelle –Il sortit alors de son fourreau son épée à deux main, dont la lame été ondulée, non pas pour un côté esthétique, mais parce que l’ondulation créait une réelle gêne pour l’adversaire de Valorius lorsqu’ils étaient fer croisé, mais l’ondulation permettait également de provoquer des vibrations dans les armes adverse lorsque le coup était donné, cela avait pour effet de désarmer le porteur, ou dans le meilleurs des cas, de briser la lame-

-Impressionnant … Vous avez votre propre matérielle, tous les membres de cette équipes sont impressionnant … La reconquête glorieuse risque d’être grandement favorisée par vos action mes amis ! Mais maintenant je dois vous laisser ! D’après les directives, votre mission s’arrête là, vous êtes libre de faire ce que vous voulez !»


Il quitta le petit groupe et se dirigea vers un alchimiste ouestien qui l’attendait depuis un moment, ils eurent une courte discussion et l’alchimiste fini par se diriger vers la locomotive pour la diriger vers un hangar.
La mission terminée, Varen partit dans la taverne du fort, boire quelques boissons ouestriennes alcoolisées. Carène alla voir dans les quartiers médicaux si quelqu’un avait besoin d’aide. Et Valorius partit sur les remparts, réfléchir sur divers sujets, mais il fut bientôt rejoint par Aessa. Sentant sa présence, il se retourna, détournant les yeux du coucher de soleil qui s’abattait sur l’Est.


« -Pensif ? –Demanda la jeune femme-

-Je me m’interroge sur le futur qui nous attend … J’ai comme un pressentiment …

-Cette intuition est-elle mauvaise ?

-Je ne sais pas vraiment … Cela mêle les deux sentiments : Impatience et appréhension … -Il retira son casque doré aux quatre cornes tirées vers l’arrière, dévoilant son visage carré, sa chevelure brune. Ses yeux, quant à eux, présentaient une particularité : ils n’étaient pas de la même couleur, l’un était rouge (comme ceux d’Aessa), l’autre jaune ambré. Il fixa alors Aessa, et fis un sourire léger-  Mais je ne m’inquiète pas, je suis trop concentré à veiller sur notre fine équipe ! –Dit-il légèrement, Aessa quant à elle, la0issa s’échapper un petit rire étouffée-

-Il est vrai que tu te défends bien, mais un jour tu trouveras plus fort que toi et tu auras besoin de notre aide ! »


La discussion continua un petit moment, jusqu’à ce que les étoiles et le crépuscule apparaissent. Ils s’arrêtèrent lorsqu’un étrange oiseau se rapprochait de leur position. Il se posa sur le rebord du rempart.
Valorius, intriguait, se rapprocha de l’étrange animal. En réalité, l’oiseau n’était pas organique, il était fait d’une étrange flamme verte. Le Chevalier d’Or reconnue alors la nature de la créature : un messager.
Il se rapprocha, tendit l’oreille et laissa le message se restituer. Cela fait, le petit oisillon reprit son envol, vers l’Est. Valorius se retourna vers Aessa, les yeux pleins d’une lueur nouvelle.


« -Pouvons-nous partir dès maintenant vers l’Est ?

-Comment ça ?

-Ce message … L’expéditeur est un … ami de mon père, il est un ami de l’Ouest, malgré le fait qu’il soit estrien ; mais le plus important c’est qu’il dit avoir besoin d’aide, mais plus grave encore, il fait référence à un complot … Quelque chose d’obscur … En tant qu’escouade d’élite, nous sommes autonomes, nous pouvons donc gérer un grand nombre de choses nous-même, sans le consentement du conseil des stratèges. Vous êtes ma capitaine … Vous n’avez qu’à nous mener vers l’Ouest … Réfléchissez-y, nous savons que notre pays prépare quelque chose, mais si un complot d’envergure se trame actuellement, l’Ouest peut encourir de graves dangers, une fois que nous en aurons appris un peu plus, nous pourrons faire un rapport efficace à nos supérieurs ! »


Elle hésita, puis finalement :


« -Nous partons dans une heure … j’espère que ton « ami » ne nous mène pas dans un bourbier … Mais ce que tu dis est intéressent, et nous ne pouvons pas fermer les yeux sur ça, surtout à la veille de la Restauration de la Gloire de l’Ouest ! »
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